• La dalle de l'étage a enfin (bon, c'est mon côté impatient, tout est parfaitement dans les temps) été coulée! Un bon point pour ma «maison Lénac»! Mon mari est tout content! Il m'avait bien expliqué à l'avance comment on procédait mais bon, moi, le coulage de dalle... Je n'y connaissais rien! Maintenant c'est chose faite. C'est sûr que, tous les deux, on est souvent dehors et souvent partis en randonnées mais bon, cette maison sera le foyer de notre retraite, plusieurs belles années qui s'annoncent à la campagne. Alors on voulait au moins un étage! Il faut bien avoir des chambres pour accueillir les enfants quand ils viennent en visite!

    C'est assez incroyable comment ça fonctionne. Moi je n'y avais jamais vraiment réfléchis, mais quand le moment de le faire fut venu, je me suis dis : «Une dalle coulée à l'étage? Mais comment on fait? Et ça doit être terriblement lourd!» Les gens de chez Maisons Lénac nous ont tout expliqué bien sûr...malgré ça, j'avais un doute. En fait, d'abord, les ouvriers installent des poutrelles en béton armé de part et d'autre des murs, comme un quadrillage, au niveau du sol de l'étage (le plafond du rez-de-chaussée quoi!). Ce sont des poutrelles d'acier et de béton en fait, c'est très solide.

    Ces poutrelles sont espacées de quelques dizaines de centimètres et possèdent un rebord, donc ensuite il s'agit de mettre des hourdis entre les poutrelles pour combler l'espace et ainsi créer une sorte de plancher. Les hourdis (moi aussi j'ai trouvé ce mot bizarre) sont des espèces de briques aérées, faites de béton, ou de bois aggloméré ou de polystyrène. Alors une fois que ça c'est fait, il reste à couler le béton dessus! Si c'est bien fait, ça ne devrait pas couler dans le rez-de-chaussée (ma grande crainte, qui faisait bien rire mon mari et les ouvriers de maisons Lénac).

    Alors bon voilà, le coulage de dalle, c'est fait, notre maison Lénac commence à ressembler à une maison (encourageant!) et nous sommes très optimistes!

    Solange au clavier


    votre commentaire
  • Hier matin nous sommes allés jeter un coup d’œil (encore!) au chantier de notre future maison. Maintenant que les fondations ont été coulées, les ouvriers de Maisons Lénac ont commencé à monter les murs du rez-de-chaussée. Mon mari me dit que le choix que nous avons fait concernant les murs est l'idéal, comme c'est moi qui ai choisi, cela me fait rire! Mais chut, ne disons rien.

    Pour notre maison Lénac, nous avions le choix entre des murs de pierre (très demeure seigneuriale), de briques, de béton cellulaire, de parpaing ou de bois. C'est sûr que chaque matériau a ses avantages et ses inconvénients...Certains sont peu isolants au niveau de la chaleur, d'autres au niveau sonore. Certains matériaux sont plus résistants, comme le béton, cependant l'eau est sa faiblesse : il ne sèche pas vite, cela peu poser des problèmes si de l'eau s'infiltre dans la structure.

    Il y a le côté écologique du matériau qui, pour nous, passionnés et amoureux de la nature, a été plus important que tout! Nous avons donc choisi le matériau le plus écologique et le plus naturel. C'était primordial, j'ai dis à mon mari que c'était la maison où nous passerions le reste de notre vie, que nous transmettrions peut-être à nos enfants, alors il n'était pas question d'économiser pour un point aussi crucial que l'écologie. Heureusement que Maisons Lénac en a pour tous les goûts! On a été fort bien servis jusqu'à présent, vraiment.

    Alors voilà, les murs du rez-de-chaussée sont en pleine montée, on se fait une meilleure idée de la future maison. Mon mari a pris l'habitude de dire à tout le monde «notre maison Lénac», ce qui donne lieu à bien des quiproquos, pour qui ne connait pas l'entreprise! J'ai hâte, nous avons hâte, de voir la suite de la construction, et d'enfin (le plus rapidement possible j'espère) pour emménager et faire notre nid dans cet endroit que j'ai bien l'intention de contribuer à rendre chaleureux!

    Solange au clavier


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires